Et si un regard pouvait tout changer?

Bien que la période des fêtes rime avec réunions familiales, célébrations, joie, surprises pour certains, ça peut aussi paradoxalement être synonyme de défis avec les enfants, source de fatigue émotionnelle, faire ressortir des dynamiques familiales difficiles. 

 

Quelqu'un se reconnaît dans cette dualité là? Moi, sans aucun doute.

 

Alors, dans cette petite lettre du coeur et cette courte vidéo, j'avais le goût de vous parler du regard que l'on porte sur soi, sur les autres, sur nos enfants et qui lorsqu'il est bienveillant, peut avoir un impact incroyable. 

 

Dans le chaos, un petit rappel, alors, de tenter de conserver notre regard d'amour sur nous-même et sur nos enfants, de voir au delà des crises, au delà des pleurs, des peurs, le réel besoin qui est exprimé et ce qu'il se cache d'invisible et de doux en arrière.

 

Je parle souvent que dans la sphère professionnelle, le regard bienveillant que l'on porte sur l'autre, peut avoir des retombées touchantes sur nos relations, la profondeur de nos collaborations, la portée de nos projets, l'épanouissement intérieur de l'autre. 

 

Je crois qu'entreprendre en conscience, c'est d'ailleurs ça aussi, c'est avoir le courage de regarder l'autre au delà de l'enveloppe visible à première vue mais laisser la porte des possibles ouverte pour entrevoir tout le doux, le sensible, le beau, qui se cache dans l'invisible.

 

Et j'ai cette même perception en lien avec le regard qu'on porte sur nos enfants. 

 

Dès l’enfance, le regard de l’autre nous donne comme un reflet, véridique ou non, de qui sommes. Tout petit déjà, c’est ce regard qui va avoir tendance à forger nos personnalités.

 

L'enfant se fie sur le regard de ses parents pour appréhender le monde, pour apprendre à se connaître, pour avoir un reflet de qui il est.

 

Et le regard qu’on lui porte, nous parents, est donc essentiel à son développement, à la confiance en lui qu’il va développer, à son sentiment de sécurité aussi face à ce qu'il peut ressentir et qui le submerge, parfois.

 

Et sans le vouloir, on va parfois réduire la sphère des possibles de notre tout petit en lui projetant nos peurs, en le mettant dans une boîte invisible à l’œil nu. 

 

Bref, le coeur grand ouvert et la culpabilité encore un peu là, je vous en partage un peu plus sur ma vision et ma petite expérience (dont je ne suis pas fière) dans cette courte vidéo.

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