Portrait de Julie de l’entreprise De Saison- Vers un nouvel art de vivre et travailler ensemble.

Aujourd’hui, je vous partage la vision inspirante de Julie, de l’entreprise De Saison, qui nous transporte, au travers sa vision et ses mots qui donnent foi en l’avenir, vers un nouvel art de vivre et de travailler ensemble.

“Ma grande vision est celle d’une culture du travail bienveillante et sainement performante axée sur la santé durable qui devient la norme - pour le bien de l’organisation elle-même, celui de la santé physique et psychologique des humains qui la composent, mais aussi de leurs familles, des collectivités et de leur environnement. “

Parles-nous un peu de la création de ton entreprise et du cheminement intérieur qui t'a amené à créer ce projet de cœur ?

Par où commencer!? J’ai vraiment le sentiment que De Saison est l’aboutissement d’un long processus de développement personnel et professionnel. Un processus atypique - disons-le.

C’est d’abord une histoire de permission.

Avec De Saison, je me suis donnée la permission de travailler autrement
Et j’aspire à amener les autres à se la donner à leur tour - du moins ceux qui en ressentent le besoin.

 Cette permission - de vivre et travailler en cohérence avec moi-même, en incarnant mes valeurs et en donnant sens à ce que je fais chaque jour dans un monde qui semble vouloir qu’on épouse ses diktats sans les questionner - est aussi la trame de fond de tous mes projets précédents, que ce soit ma toute première entreprise de stratégie et rédaction web en 2010, mon passage en start-up RH en 2011 ou encore la création du blogue et de la communauté Les inspirés en 2013…

Entre 2013 et 2018, j’ai eu deux bébés et je suis redevenue employée.
Je me considérais comme une employée-intrapreneure et je ne ressentais plus le besoin de créer ma propre entreprise… mais ce n’était qu’une question de temps, bien sûr :)

J’avais profondément besoin d’aller au bout de ma vision d’affaires et quand j’ai réalisé - après bien de l’énergie investie - que ça ne serait pas possible au sein de l’entreprise dans laquelle j’étais, le rêve de lancer ma propre entreprise s’est vite réveillé.

Mais j’étais maman, j’étais fatiguée, j’étais épuisée émotionnellement de m’être sur-investie sur trop de plans.

En plein arrêt de travail, lorsque j’ai pris la décision de foncer, c’est que je sentais profondément que le moment était venu. Tant pour moi que dans la société.

Notre génération parvenait à accéder à des postes de gestion et je souhaitais que nous profitions de cette opportunité pour transformer le monde du travail pour le mieux.

De Saison, c’est une leçon de leadership pour moi-même.

C’est une façon de mettre en application mes connaissances, de les tester dans la vraie vie.
Puis de partager tout ça, les connaissances tout comme l’expérience concrète.
D’accompagner les autres dans leur propre démarche.

Donc De Saison, pour moi, est différente des autres projets que j’ai lancés précédemment. J’ai appris, tellement appris au cours des 10 dernières années que je me sens plus enracinée, plus confiante comme entrepreneure. Ma partenaire d’affaires a elle aussi vécu d’autres expériences. Je sens aussi que fortes de ces apprentissages, nous nous sommes organisées pour durer.

 

Quelle est ta grande vision, ton aspiration profonde au travers de ton entreprise ? 

Ma grande vision est celle d’une culture du travail bienveillante et sainement performante axée sur la santé durable qui devient la norme - pour le bien de l’organisation elle-même, celui de la santé physique et psychologique des humains qui la composent, mais aussi de leurs familles, des collectivités et de leur environnement.

Dans ma vision, qui en est une de développement durable finalement, de retour à un meilleur équilibre, il y a aussi un « comment », parce que c’est la grande question : « comment on passe du souhait à la réalité? »

Je suis convaincue que ça doit passer par le cœur des individus, par notre humanité universelle, notre bienveillance naturelle, notre vulnérabilité et nos besoins les plus viscéraux, en même temps que ça passe par l’effet de groupe, par la création d’un mouvement inspirant auquel on a envie de participer, que ce soit un mouvement intérieur, un mouvement dans son équipe ou dans la société. C’est comme ça que se crée l’engagement.

C’est ce mouvement qu’on tente de créer, avec De Saison, par les expériences que nous créons, des expériences qui se veulent inspirantes, mobilisantes, qui sont intimement liées aux contenus que nous créons, aux histoires que nous partageons, que ce soit dans nos programmes d’introspection stratégique, ou dans nos conférences, formations et ateliers d’équipe.

Nous sommes tous la culture et nous l’influençons chaque jour au même titre qu’elle nous influence aussi.

Peux-tu nous parler un peu de la signification du nom de l’entreprise « De Saison » ?

Derrière De Saison, il y a trois significations. D’abord, il y a le désir de nous reconnecter, socialement, au rythme naturel des choses et du monde qui nous entoure. De nous rappeler qu’en tant qu’humains, nous sommes la nature, nous aussi et que nous obéissons aux règles de la nature, malgré nos aspirations à devenir aussi efficaces que les machines que nous avons créées - particulièrement au travail.

La deuxième signification en est une d’évolution. « de saison en saison » est une expression que nous utilisons souvent, qui exprime la notion de progression, d’agilité, d’apprentissage et de cycle, aussi.

Enfin, oui, de Saison signifie « d’actualité ».
Le contexte change continuellement. Comme stratèges, créatrices de contenus, de programmes, d’outils et autres solutions, nous nous tenons au fait des mouvements de fond et du contexte, nous sommes toujours à l’affût des enjeux du moment - au même titre que des enjeux intemporels.

 

Quelles sont tes valeurs fondamentales, celles qui constituent le pilier de chacune de tes décisions personnelles ou d’affaires ? 

La bienveillance est la valeur fondamentale sur laquelle repose tous mes projets, l’impact net se doit être positif, le plus possible.. Je me demande souvent comment ça peut être « gagnant-gagnant ».

L’authenticité viendrait ex-aequo, dans le sens où je me demande souvent comment on peut s’assurer de créer des liens qui soient vrais et dépourvus de faux-semblants, même dans le moins beau. J’aime beaucoup l’humain, avec ses travers et ses contradictions, ça me fascine lorsqu’on peut avoir accès à toutes ces facettes d’une personne. C’est dans ce temps-là qu’on apprend le plus. L’authenticité va de pair avec la bienveillance, parce qu’être authentique équivaut à incarner le respect de soi, à se donner la permission d’être pleinement soi - et donc en l’incarnant, on donne aux autres cette même permission. On ouvre la porte à la vulnérabilité, mais il n’y a pas de vulnérabilité possible sans bienveillance.

L’apprentissage serait la troisième valeur. Je suis une éternelle apprenante et plus souvent qu’autrement, nos clients aussi. J’apprends continuellement sur moi, sur la vie, sur les relations, l’entrepreneuriat. Je crois aussi qu’on apprend beaucoup des expériences des autres, pas juste de la théorie. C’est une prémisse qui guide mes partages, mes contenus. Chez De Saison, succès ou réussite rime avec apprentissage. Ouste le syndrome de la bonne élève qui réussit tout, qui récolte les bonnes notes et les bons mots. La question que je me pose maintenant, c’est : est-ce un chemin d’apprentissage, qu’ai-je appris. On en devient accroc à cette forme de progression qui n’a rien à voir avec la croissance financière, la notoriété ou les parts de marché. Mon anxiété de performance s’est presque complètement évanouie quand j’ai réalisé que pour moi, l’important n’était pas de réussir à tout prix, mais d’apprendre et de rebondir, en continu.

La qualité de vie a toujours été une de mes grandes valeurs. Pour moi, la vie ce n’est vraiment pas juste le travail, il y a une foule d’expériences humaines que j’ai envie de vivre, dont celle de la parentalité qui arrive en haut de la liste. Je suis une fervente du temps de quantité avec nos enfants, dans l’ordinaire de la vie. Je suis aussi une créative, j’ai toujours eu besoin de beaucoup de temps pour réfléchir, écrire, faire des liens, imaginer. Donc je suis loin du profil de l’entrepreneure qui travaille trop et tout le temps ou qui a une approche féroce, axé sur l’exécution de tâches, le « faire ». Je suis axée sur l’être, sur la présence, sur l’expérience - c’est l’essence même de ce que je vends - et je me laisse guider par ma vision et mon désir de la voir se concrétiser. Certes, j’ai déjà versé dans le trop : trop de projets, trop d’enthousiasme, trop d’investissement émotif dans certains projets, mais après mon épuisement émotionnel il y a 3 ans, juste avant de lancer De Saison, je me suis promise de respecter cette façon d’être et de ne pas juste « faire comme tous les entrepreneurs pour mériter mon succès » ou encore de ne plus « dire oui de peur de manquer quelque chose .».

La liberté et la qualité de vie sont primordiales pour Marie-Andrée et moi, ma partenaire d’affaires. On doit continuellement doser notre créativité et notre enthousiasme, prioriser et re prioriser, se demander c’est combien assez pour revenir à la pleine présence à ce qui est là, maintenant, devant nous au lieu de continuellement nous projeter dans le futur. 

 

Dans nos démarches respectives, l’art de vivre et l’art de travailler se rejoignent pour former un tout et contribuer à un meilleur équilibre, un meilleur épanouissement global. Quelle est ta vision de l’importance de ce parallèle ?

Nous n’avons pas deux vies - une personnelle et une professionnelle. Nous avons une vie et celle-ci se décline en différents rôles ou différentes expériences.

Mais on a une fâcheuse tendance à séparer les deux : deux listes de choses à faire, deux listes d’objectifs, deux listes de rêves. « On veut travailler comme si on n’avait pas de vie et on veut vivre comme si on n’avait pas à travailler. »

Je crois qu’une approche globale nous permet simplement d’avoir des attentes plus réalistes envers nous-mêmes et notre équipe.

En ce sens, la pandémie nous a rappelé qu’il n'existe pas de séparation entre la société, les familles, leur santé et la « machine » du travail. Toutes ces sphères s’influencent directement. Des familles malades et le monde du travail en souffre. Un monde du travail malade et les familles en souffrent.

Tu sais, nous avons peut-être deux agendas, mais nous avons un seul cerveau - avec des pensées liées au travail et à la vie, sans véritable séparation. C’est là que le travail d’équilibre commence, avec certains réflexes individuels et collectifs, nous pouvons influencer notre qualité de vie individuelle et collective.

 

On ressent la conscience au travers chacun de tes partages. Comment définirais-tu la conscience dans la vie comme en affaires ? 

Pour moi, la conscience, c’est observer les forces à l'œuvre.

C’est un mélange de présence, d’écoute, d’observation, de curiosité et d’instinct.

Ma conscience vient du désir de comprendre ET de ressentir à la fois.

Comme stratège, ma conscience est mon principal outil de travail.
Elle me permet de faire des liens que d’autres ne perçoivent pas.
Elle me permet de trouver les bons mots.
Elle me permet de susciter des émotions, de mobiliser, de toucher les gens parce que souvent, je vais dire tout haut ce qu’ils ressentent tout bas, et ce, seulement parce que j’ai été à l’écoute.

En termes de culture d’entreprise, de quelle manière les ateliers que tu offres aident à développer une culture plus bienveillante, plus consciente, plus vraie ? Quelle est ta démarche pour soutenir à déprogrammer, auprès de ceux avec qui tu travailles, ce qui est parfois, profondément ancré ?

Notre démarche en est d’abord une de reconnexion.

Peu importe si notre intervention a lieu au niveau des hauts dirigeants, des gestionnaires, de l’équipe au complet ou d’un seul individu, c’est la prémisse de base : accordez-vous de l’espace et du temps pour reconnecter à vous-mêmes, à vos valeurs, à votre vision, à votre sens, vos besoins essentiels. Pour vous reconnecter aux autres ou encore à la nature - la nature humaine et celle qui vous entoure.

Accordez-vous de l’espace et du temps de recul pour vous inspirer, pour réfléchir stratégiquement, pour faire de l’ordre, du ménage dans vos priorités, vos stratégies et vos comportements.

Une fois cet espace-temps créé, notre démarche allie inspiration, storytelling, concepts tout aussi simples qu’« avant-gardistes » et outils pratiques pour les mettre à l'œuvre. C’est très important pour nous de faciliter le passage de l’inspiration à l’action.

Comme notre approche est basée sur le développement d’un leadership personnel bienveillant partagé, la démarche est sensiblement la même pour tous les individus, peu importe leur rôle en les aidant à pratiquer de nouveaux réflexes, pas à pas, dans toutes les sphères de leur vie.

Le co-développement joue aussi un grand rôle dans notre approche, question de soutenir la progression dans le temps. Pour que les intentions deviennent des actions oui, mais aussi et surtout des apprentissages et de véritables compétences (agilité, leadership, esprit stratégique) au fil du temps.

 

Peux-tu nous en dire plus sur le concept de « temps blanc » ? Du temps blanc dans ton cœur, qu’est-ce que cela représente ?

Le temps blanc, c’est tout ce que je viens d’expliquer, mais surtout, c’est du temps qu’on suspend, pour apaiser notre mental, prendre du recul et se recentrer.

Dans notre modèle de saine gestion de l’espace mental et du temps - individuellement et en équipe, nommé TEMPS BLANC, justement, il existe différents types de temps blanc. Certains plus personnels, d'autres plus professionnels. Mais en gros, le temps blanc, c’est ce temps que nous n’avons plus - notamment en raison de notre hyperconnectivité et de notre tendance à vouloir en faire trop.

 

Quelle est ta vision quant à ce que le message profond que tu passes peut apporter au monde de demain, au-delà de l’impact qu’il a sur le monde des affaires ?

Mon message est le suivant :  embrassons notre humanité et prenons soin de nous-mêmes, de notre équipe, de nos familles en harmonie avec notre nature humaine et en harmonie avec le rythme naturel des choses. Revenons à la base et façonnons notre expérience avec conscience et intention.

Je crois que ce message peut aider les humains, particulièrement les plus jeunes générations, et particulièrement en cette époque d’anxiété exacerbée, et ce, bien plus qu’il peut aider le capitalisme avec un grand C.

Cela dit, je crois au nouveau capitalisme, à l’économie bienveillante. Je crois qu’on peut revenir à un monde des affaires à échelle humaine, plus communautaire, plus équilibré. Même au sein des grandes organisations.

 

Tu es aussi maman. Comment parviens-tu à jongler entre la vie de maman et les aspirations entrepreneuriales que tu as, afin de te sentir en équilibre au quotidien?

Dans mon cas, l’entrepreneuriat me permet de prioriser mon rôle de mère et de vraiment le vivre tel que je le souhaite. Notre structure se veut volontairement « simple » et épurée. Pour nous donner un maximum de latitude, embrasser la semaine de 4 jours, les vacances illimitées. Je sais que ça sonne utopique, mais nous avons bâti le modèle d’affaires pour qu’il nous donne cet espace, qu’il nous donne la flexibilité et surtout, qu’il nous permette d’assumer pleinement le fait que nous sommes mères et que c’est un rôle qui est important pour nous. Avant même notre rôle d’entrepreneures.

Sans blague, si on enseigne le modèle Temps blanc, c’est parce qu’il nous a permis de bâtir un quotidien juste assez rempli, juste assez stimulant, grisant et aussi juste assez sain pour nous-mêmes et nos familles.

Même quand ça glisse et que ça déborde momentanément - dans ma tête ou dans mon agenda, j’ai les outils et réflexes pour revenir rapidement à l’essentiel, afin de terminer la journée ou la semaine satisfaite.

 

Dans ton parcours vers la concrétisation de ce projet de cœur, quels sont les plus importants défis que tu as rencontrés et qu’est-ce qui t’a motivée à poursuivre ce chemin ?

Notre entreprise est toute jeune, trois ans seulement.

Le contexte de la pandémie et du télétravail obligatoire nous a souri et je dois dire que je suis très fière de notre agilité et de notre créativité. En même temps, je sais que nous ne sommes pas à l’abri des revers.

Pour moi, le plus grand défi est toujours de financer nos rêves.

Donc le budget est le plus grand reality check, et parfois une source d’anxiété!

Je ne suis pas une vendeuse-née, du moins pas une démarcheuse née, donc c’est un chemin d’apprentissage que d’être un peu plus proactives et « pessimistes » en ce sens.

D’autre part, ma santé mentale n’est plus la même qu’avant mon épuisement.
Je touche plus rapidement un point de saturation mentale.
Je peux devenir dépassée sans raison apparente et me sentir improductive.

Je ne peux pas juste me fouetter un peu, ça ne fonctionne pas vraiment.

Donc quand j’ai moins d’emprise sur mon mental, je dois être dans l’acceptation, la patience et la confiance.

Ce sont deux « stress » et défis qui reviennent régulièrement me hanter.

Ce qui m’aide c’est de bien m’entourer, d’aller à l’essentiel et de miser sur mes forces.

 

Qu’est-ce que cela représente pour toi le succès, la réussite ? 

La réussite pour moi, c’est la satisfaction.

Ni plus, ni moins.

Je vise à aller au lit le soir satisfaite, le cœur et la tête en paix.

Sinon, je dirais que je mesure le succès par la qualité de mes relations.

Dans la vie comme au travail, dans mon quartier et en affaires.

Avant j’étais très axée sur les idées.
Maintenant, la qualité des relations prend de plus en plus de place dans ma définition de la réussite.

Enfin, le succès matériel, à mes yeux, est celui qui permet de redonner.
C’est l’ultime réussite à mes yeux, cet impact social durable.

Mais quand on y pense, on peut avoir cet impact à petite comme à grande échelle.

 

Si tu avais un conseil à donner à un entrepreneur ou intrapreneur qui a ce désir de se lancer en affaires et de créer plus de sens, quel serait-il ?

Oh c’est sûr que je lui dirais de commencer. De faire un pas, de ne pas attendre que le projet soit parfait sur papier. Énonce l’idée, démarre le projet, le chemin EST la destination et l’objectif c’est l’apprentissage!

Aussi, cette vision que tu touches presque tellement elle est claire dans ta tête, tu mettras peut-être le double, voire le triple du temps pour la réaliser. Tout prend du temps, il y aura des détours, mais continue d’avancer avec ce « sens » en tête. Plusieurs chemins peuvent te permettre de poursuivre ce sens de toute façon. Ne t’attache pas trop aux moyens.

 

Et pour finir, un outil utile, une inspiration à partager aux lecteurs de So & Co ?

Avec plaisir, à titre « d’inspirée » voici la liste des inspirations qui ont jalonné mon parcours :

Comme créative :

-       Le podcast Hurry Slowly par Jocelyn K. Glei

Comme parent :

-       Le livre Present over Perfect de Shauna Niequiest

-       Le livre Vivre Simplement d’Élisabeth Simard

Comme entrepreneure et pédagogue :

-       Le livre Maria Montessori : la formation de l’homme

-       Le livre : « it doesn’t have to be crazy at work » de Jason Fried and David Heinemeier Hansson

 

 

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